du JUNQUE et d\'AILLEURS

Les gaz, ooooh … gênent.

Nous allons vous entretenir aujourd’hui d’un sujet d’actualité qui ne sent pas la ‘’rose’’.

D’après une étude scientifique du très sérieux journal le New Zealand Médical, il ne faut jamais retenir ses flatulences en avion … Etiez-vous au ‘’parfum’’ ?

Il parait qu’en raison de la baisse de pression, le volume de gaz des pets augmente de 50%.

Il faut savoir qu’un humain normalement constitué rejette plus d’un litre de gaz par jour, matérialisé par plus de 20 pets. Dans un Airbus 380 qui peut transporter jusqu’à 853 passager, faites le calcul : 20x853= 17060 et comme les flatulences augmentent la nuit car le corps se détend, n’oubliez pas les pinces à linge.

Beaucoup de gens qui prennent l'avion se la ‘’pètent’’ énormément. Et ceux qui sont en classe affaire qui se la ‘’pètent’’ encore plus. C'est pour cela qu'il y a des dépressurisateurs et des masques à oxygène.

Il parait que le charbon a la propriété d’absorber les odeurs, alors mesdames et messieurs, si vous prenez l’avion, n’oubliez pas non plus le seau et la pelle à charbon …

Et puis, saviez-vous que pour exprimer son mécontentement dans certaines tribus d’Afrique, on se doit de péter au lieu de palabrer … on pourrait en parler à certains du Conseil Municipal de Jurançon.

Mais, comme le disent nos amis les oiseaux, revenons à nos gaz … ouillis.

Une compagnie aérienne aurait prévu des aéronefs pour transporter des passagers souffrant spécifiquement d’aérophagie.

Ces voyages en avion où l’on peut se soulager, on pourrait appeler ça, des …

Vols au vent.