du JUNQUE et d\'AILLEURS

Suspect ou lèche-cul ?

Se basant sur une étude publiée dans un journal spécialisé, la police scientifique américaine a décidé d’approfondir ses recherches sur les poils pubiens. Cela à cause de la recrudescence des viols aux Etats-Unis et surtout du manque de connaissance sur la perte de poils durant le rapport sexuel.

Elle a donc demandé à six employés du laboratoire et à leurs conjoints un échantillon de la partie pileuse intime de chacun, puis de rentrer chez eux pour se livrer à des ébats sexuels jusqu’à ce le système pileux de chaque acteur ressemble à une vielle fourrure mitée.  

Après l’acte, chaque protagoniste doit s’assoir sur une serviette pendant que son ou sa partenaire lui passe le pubis au peigne fin. Ensuite, le ‘’gazon’’ est soumis à un protocole de recherche destiné à vérifier à qui appartiennent les poils pubiens en les comparant aux échantillons fournis par chaque participant.

Il parait que les chercheurs auraient trouvé quelques ‘’intrus’’ comme des cheveux et même un poil d’animal … sans commentaire.

Pas de problème pour rencontrer des hommes barbus, mais beaucoup plus difficile de trouver quelques élément de duvet féminin autour du sexe masculin, à moins de tomber sur une femme à moustache ou sur une femme ‘’pompier’’.

Il y a toujours un recours, c’est qu’elle ait oublié de s’épiler les poils du nez.

En son temps, notre bon Roi Henry n’avait nul besoin de recourir à de telles techniques pour trouver les meilleures amantes. Il les choisissait à l’odeur et quand elles étaient ‘’au parfum’’ il les honorait et proclamait, moi j’aime les femmes lorsque …

Le poil pue bien.