du JUNQUE et d\'AILLEURS

Adultère.

Avant la dernière ligne droite qui sera la mise en place des conseillers municipaux il se passe de drôles de choses pour la mise en place des nouveaux Maires. Tromperie, trahison, traîtrise qui a débuté chez nous à Jurançon par le départ sans tambour ni trompette du British et dernièrement la désertion de son parti de Monsieur Hamelin dit Judas. Auraient-ils donner l'impulsion au départ de ces félonies qui se passent aujourd'hui chez nos voisins.

A Mourenx, l'ancien Maire battu à quitté le bateau en laissant le gouvernail à celui qui aurait du être son premier adjoint et qui se retrouve à présent premier de cordée dans l'opposition comme il l'était déjà à Jurançon. Contrairement au dicton, lui a sauté pour ne pas avancer, en fait il a fait du surplace.

A Idron, le ver était aussi dans le fruit et comme dans le cheval de Troyes, les ''ami - nemies'' se cachaient dans le même fruit. Mauvaise surprise pour la ''belle Hélène'', pardon pour Annie, Hild de pute, comme on dit chez nous en Béarn, elle ne s'attendait pas à ce coup fourré.

A Lacarry au pays basque, la colistière a pris la place de son chef de file. L'ancien édile a dit que celle-ci avait employé la technique du coucou, l’oiseau opportuniste connu pour s’installer dans le nid construit par d’autres. Elle le jolie coucou et lui le beau cocu.

Remarquez que chez nous à Jurançon, les changements de direction, on connais bien, en commençant par Mistigris, qui de Modem est passé par l'Udi puis pour les dernières élections présidentielles a soutenu Juppé et après En Marche, il a couru vers le petit caporal Bonaparte devenu Napoléon. Et maintenant il se dit sans étiquette, mais de toutes certainement. ''Changement d'herbage réjouit les veaux'', de là vient l'expression, être ''veau ... lage''.

Dans son intervention d'installation, il fait son mea culpa sur « ce qui n'a pas été fait » sciemment ou pas, oublié ou pas et nous parle aussi de construire une « nouvelle normalité ». Alors comment était l'ancienne …

Si l'on croit à cette bonne parole, depuis douze ans, la normalité ne l'était pas, bizarre …vous avez dit bizarre …

Comme c'est étrange ...