LONGUE VUE
Train-train.
Alors on ouvre, on ferme, trois pas en avant deux en arrière, c’est la valse hésitation …
Ça va se faire, c’est en bonne voie, on étudie la question à ‘’donfe’’ nous claironne depuis des années Monsieur Rousset, Président du Conseil Régional.
Problème … depuis janvier 2003 l’ancien tunnel ferroviaire sert notamment de voie de secours pour son "jumeau" routier.
Alors que fait-on si l’on rouvre la ligne Pau-Canfranc ? On ferme le tunnel routier actuel le temps de construire une autre voie de secours ?
Non, car une convention avec le concessionnaire du tunnel fixe les conditions de cette conversion, elle prévoit la pose de rails à gorge encastrée dans la chaussée (comme on en trouve dans les réseaux de tramway urbain) en cas de réouverture de la ligne.
Oui mais alors dans le cas d’accident, on paralyse la circulation du tunnel ferroviaire le temps de l’évacuation du tunnel routier.
Beaucoup de questions sans réponse et de réponses sans poser les bonnes questions.
Avec tout cet argent dépensé pour des études de faisabilité, n’aurait-il pas été plus opportun d’en garder une partie pour "faire plutôt que de penser" …
Alain Rousset, Guillaume Pépy PDG de la SNCF et Jean-Marie Paquet Directeur des réseaux transfrontaliers à Bruxelles, qui donnent quelques raisons d'espérer la renaissance de la Pau-Canfranc, ont fait savoir qu’ils allaient mettre … le paquet, qu’en 2015 l’horizon s’éclaircirait du côté de Bedous et en 2020 on verrait …
Le bout du tunnel.
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