"MENTERIE"
Courriel signé de ce Monsieur envoyé sur notre mail.
De : Jean-Claude Domingo
Date : 19 janvier 2012 09:32
Pour rendre hommage à votre" honnêteté intellectuelle", et répondre à l'extrait de jus d'égout que représente la prose que vous avez publiée en me citant nommément, je vous conseille pour votre culture, comportant quelques rares lacunes dans votre ignorance de vous référer à ces trois poèmes dans lesquels vous vous retrouverez.
De Messieurs :
Georges BRASSENS: Le temps ne fait rien à l’affaire.
Jacques BREL : L'air de la bêtise
Jean FERRAT: Le sabre et le goupillon.
J'ai du reste communiqué à Monsieur le Procureur de la République qui décidera de la suite à donner à cette affaire, l'ensemble de mes écrits, et celui des vôtres.
J'ose penser que dans un sursaut de courage vous publierez ce courrier. J'en doute, mais qui sait ! Par contre moi je l'adresse à mes nombreux Amis de Jurançon.
J'ai le plaisir de ne pas vous saluer, car je ne crois pas aux fantômes.
Réponse : A ce Monsieur
Où l’on s’aperçoit que le demandeur est aussi légèrement hâbleur.
(Voir ses commentaires signés sur les articles : Pampe (dans la) lune, Election bidon …ante et Air du temps. Sans compter ses courriels signés adressés sur notre mail.)
Notre ‘’ami l'éternel aigri insatisfait’’ qui aime bien mettre le feu aux poudres mais déteste se faire allumer, encore une fois nous balance ses écrits, contrairement à ses ‘’promesses’’ de fin d’année 2011.
Nous répondons une dernière fois à son courriel ‘’copié-collé’’, où tout le monde peut voir qu’il se ‘’cite nommément’’.
Il pourra rajouter le poids de cette page à son courrier ça lui fera un timbre de plus à coller sur son enveloppe.
Si nous le « citons nommément », c’est lui qui l’a décidé. A chaque commentaire il signe de son patronyme, sans compter que sur ses courriels il insiste lourdement.
Si ce Monsieur pour montrer sa culture, nous attaque au travers de textes d’auteurs célèbres, nous pouvons nous aussi lui donner un aperçu de la notre à son égard :
Jean Ferrat : Le Singe. Georges Brassens : Mourir pour des idées.
C'est fou ce que je m'acclimate O vous, les boutefeux, ô vous les bons apôtres
Au jardin d'acclimatation Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas
Où l'on conserve les primates Mais de grâce, morbleu! Laissez vivre les autres!
En bon état d'conservation
Jean Noël Dupré : La bêtise c’est comme un rhume.
La bêtise, c'est comme un rhume
Ça s'attrape au coin de la rue
Ça se porte comme un costume,
Une armure ou un pyjama
Et quelque fois, c’est ça culture hispanique qu’il nous propose en écrivant, toujours sous son identité des commentaires en espagnol. Nous aussi nous la maîtrisons un peu. Nous pouvons même lui conter une partie de son parcours en ibère, et en guise d’adieu nous lui dédions cette petite fable, un peu à notre sauce : Del Senor Juan del Manantial: la rana y el matador, que nous traduirons en français.
De Monsieur Jean de La Source : la grenouille et le matador :
La grenouille voulait entrer dans l’arène
Et ne ménageait pas sa peine.
Pour ne pas perdre la face
Elle fit une volte-face.
Malheureusement pour elle,
Après quelques années belles
Changea le matador
Qui l’envoya dans les décors
Moralité :
Rien ne sert de retourner sa veste
Car souvent, c’est sur le cul qu’on reste
Signé : Fantomus, Fantomas, et Fantomette.
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