C’EST LE BOUQUET.
La fine fleur des experts.
Dans un article du journal Sud-ouest de mai 2011, deux personnes se disant férus de peinture de maître en décousent au tribunal sur l’authenticité d’une œuvre de Blanche ODIN. Monsieur Robert Fily, l’acheteur, dit que son soit disant « vrai est faux » et Monsieur Bertrand Irrigaray, le vendeur, clame que son soit disant « faux est vrai ». Un commissaire-priseur dit qu’il détiendrait l’original. Pas sur, vu que ce commissaire est de Marseille … !!! oh, fan de p …, un autre dit aussi qu’il en possède un. C’est comme les moustiques, quand se fait la lumière il en vient de partout. Alors en réfléchissant bien, cette ODIN, elle n’était peut-être pas si blanche que ça. Ne serait-ce pas elle, qui, pour « emmerder » le monde des experts, aurait fait plusieurs toiles avec de petites différences ? Tous les faux seraient vrais … Alors tout serait bien qui finirait bien, et, Robert peut « fily » à l’anglaise et nous pouvons dire de Bertrand :
Maintenant, « y rit garay ».
PS : Nous nous sommes permis de nommer les personnes, vu que leur identité apparaît dans les journaux.
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